Vanessa Valou : le choc post-fécal-romantique qui redéfinit le rock
Mes chers amis du rock, ce matin-là, j’ouvre ma boîte mail, et là… une claque. Non pas musicale. Une claque de l’arrière. Un choc viscéral. Une chanson. Une voix. Un tube anal. Mes chakras ne s’en sont jamais remis.
💿 Vanessa Valou – The First Time In My Rectum
Un classique du post-fécal-romantique.
On pensait avoir tout entendu depuis Lou Reed qui hurle des bruits de perceuse sur “Metal Machine Music”, ou après les pets compressés d’un bootleg des Butthole Surfers. Mais là… Vanessa Valou entre dans l’histoire avec une audace que même Iggy Pop n’aurait pas osée nu. Et Dieu sait qu’Iggy Pop nu, c’est notre mètre-étalon.
🧠 Texte & profondeur :
Il y a là une poésie brute. Une sincérité désarmante. Elle parle de rectum, mais en réalité, elle nous parle à tous. Ce « trou » n’est pas qu’un orifice, c’est une métaphore de l’ouverture au monde, du lâcher-prise moderne, du plaisir post-digital. C’est Rimbaud qui rencontre Jacquie et Michel.
🎶 Production musicale :
Musicalement, on navigue entre le premier album de Britney Spears sous Xanax et une version Lo-Fi d’une BO de film d’adulte tournée à Bucarest en 1997. La basse claque comme une fessée consentie. Les nappes de synthé viennent te border dans une nappe de lubrifiant sonore. C’est sale, mais proprement fait.
📼 Clip vidéo :
Là, je vous arrête. On frôle le chef-d’œuvre visuel. Des lumières dignes de Jean-Michel Jarre sous MDMA, des gestes chorégraphiques qui évoquent les balbutiements de l’amour contrarié. Chaque plan est une invitation à se perdre dans la moiteur d’un club berlinois à 4h du matin.
🧻 Conclusion :
Cette chanson n’est pas qu’un morceau. C’est un mouvement. Une révolution. Une dilatation de la pensée. On ne l’écoute pas avec les oreilles, mais avec les fesses et le cœur. Et ça, c’est très fort.
Si tu ne chantes pas « I was too tight but I relaxed my hole » sous la douche d’ici la fin de la semaine… c’est que tu n’es pas prêt pour le futur du rock’n’roll.